Surprise !
Je sortais tout juste de ma douche, j’entends frapper à ma porte. Je descends en vitesse les cheveux encore dégoulinants d’eau, car pas eu le temps de mettre une serviette en turban. Juste eu le temps de mettre une serviette qui descend jusqu’à mi-cuisse et qui recouvre ma poitrine. J’ouvre, laisse juste apparaître ma tête et je vois que c’est toi en fait. De là, mes yeux s’écarquillent, je souris nerveusement, tu m’obliges à te laisser entrer, tu claques la porte derrière toi avec le pied. Tu me prends par les épaules, plaque tes lèvres contre les miennes, me plaque moi contre la porte, tu m’arraches cette serviette que tu trouves de trop, le tout en continuant de m’embrasser. Une fois cette serviette retirée, tu descends doucement jusqu’à mon entre-jambe pour me donner un petit avant-goût de ce qui m’attend, je n’ose plus bouger…
Je suis tétanisée de plaisirs et d’excitation, je me laisse docilement faire, j’attends de voir ce que tu vas me faire ou ce que tu vas me demander de faire en tant que dominant. Tu décides de te redresser, de me regarder droit dans les yeux, dans les miens, tu peux voir l’envie, le plaisir & les étoiles, dans les tiens, je vois le désir, l’animosité & l’envie de me prendre là maintenant tout de suite sans aucun ménagement. Mes mains, tout en te fixant encore, passent dans tes cheveux, mes doigts s’enroulent dedans ! Tes mains me caressent tout le corps, tu analyses chaque cm² de peau que tu as à disponibilité illimité.
C’est là que tu t’arrêtes d’un coup, tu te recules d’un demi pas, tu me fixes toujours, tu ne veux pas que nos yeux se détachent, je t’enlève doucement la boucle de ceinture, dégrafe ton jean noir qui moule bien tes fesses, et te laisse le soin de retirer ton t-shirt dans lequel j’aurais pu passer soit dit en passant. Tu descends ton jean et ton boxer d’un seul coup de main, tu m’attrapes par les hanches me re plaque contre cette porte d’entrée tout en prenant soin de la fermer à clé, tes mains sont quelque peu baladeuses et décident de passer sous mes fesses & me soulèvent ! Mes bras passent autour de ton cou pour repasser de nouveau mes mains dans tes cheveux ! Ton sexe en érection me chatouille, tu te rapproches de plus en plus près ton souffle dans mon cou est chaud et on sent que tu n’as qu’une envie, c’est de me pénétrer immédiatement !
Tu donnes un petit coup de hanche vers le haut pour me faire savoir que tu as envie, très envie, mes jambes autour de ta taille sont bien serrées pour ne pas tomber. Je prends un léger appui et fait en sorte qu’enfin tu entre en moi et m’emplisse de ton désir !
Tu lâches mes fesses et poses tes mains de chaque côté de ma tête pour me coller encore plus contre cette porte qui sera notre seul support
Et tu me pilonnes encore et encore, l’animosité et l’envie de te défouler sont ton seul credo à l’instant même où nous faisons cela, je ne te retiens pas, et je ne veux pas non plus que tu te retienne, ça en deviendrait presque violent mais ça me plaît, ça me fait du bien, je ne peux m’empêcher de lâcher un cri qui dit : « Oh c’est trop BON! » Et tu reprends tes coups de butoir de plus belle ! De plus en plus violents, de plus en plus rapides, encore et encore et encore, nos souffles et nos cœurs s’emballent, on ne sait plus où on est, mais on s’en fout ! On prend notre pied, c’est tout ce qui compte.
Malgré cela, tu te rends compte que la porte, ce n’est pas forcément très agréable pour moi, de ce fait : tu repasses tes mains sous mes fesses pour me maintenir, tu m’emmènes doucement à l’étage, décides de m’attacher, moi, au lit, seulement les mains ! Je ne peux plus te toucher pourtant, j’aime ça. Tu me mets sur le ventre pour me masser le dos à cause de cette satanée porte, c’est très agréable un léger « Mmmmmh » de plaisir se laisse entendre. Tu continues de me masser pendant encore quelques minutes puis tu me remets sur le dos, tu me regardes, me souris, te rapproches doucement de mon oreille et me chuchotes « Je ne fais que commencer chérie ! » Tu te recules rapidement pour observer ma réaction et là, tu vois mon regard qui s’enflamme d’envie !
Je n’attends plus que ça.
Tu passes entre mes jambes, me les écartes d’un coup de genou, tu recommences à analyser chaque parcelle de mon corps, mais pas avec tes mains cette fois-ci, avec tes lèvres, tu joues avec mes tétons qui sont ultra-durs avec toute cette excitation, tu descends sur mon ventre mes cuisses, mes mollets, t’arrêtes juste au niveau de la cheville et remontes doucement, en passant au niveau de mon pubis, tu laisses un petit souvenir à mon clitoris qui sera un gentil coup de langue ! Ma réaction est immédiate, un coup de hanche qui signifie : « Encore !«
Cela t’a visiblement amusé, alors tu recommences ce rituel et à l’identique, re coup de langue > Re coup de hanche, tu fais ça encore 4 ou 5 fois, mais tu n’es pas méchant à ce point-là donc tu décides d’assouvir un peu cette frustration en t’occupant de ce petit bouton magique ! Toujours attachée, je n’ai d’autre choix que de te laisser faire, ce qui n’est pas pour me déplaire bien au contraire !
Et puis de me voir dans un tel état d’esprit, d’excitation & de désir pour toi, tu reviens me voir, droit dans les yeux et m’embrasse tout doucement, me détache une main puis l’autre ce qui me laisse l’autorisation et le loisir de laisser mes mains se promener partout sur toi, de tes cheveux à tes hanches en passant par ton torse et ton bas-ventre ! Mais tu en as un peu marre d’attendre, sans rien laisser voir au préalable, tu me pénètres ce qui me surprend agréablement, car un petit cri de plaisir s’est échappé ! Cette fois-ci moins d’animosité, mais tout autant de plaisir, nos souffles sont encore courts, on sent nos cœurs taper dans la poitrine de l’autre, car nous voulons être, durant cet instant de folie & de plaisir, coller l’un à l’autre, nous voulons presque paraître comme étant qu’un. Je me retiens essaie de ne pas jouir parce que tu me connais, tu sais que j’aime être dominée ; tu te redresses, me regardes et vois dans mon regard ce que j’attends de toi ; tu te replaces et me chuchotes le souffle court « Vas-y chérie, lâche-toi !«
Et là, mon corps s’empourpre dans une explosion d’émotions, d’extase & de spasmes. Nous réalisons que nous nous n’étions même pas présentés ni dit bonjour, on se fixe encore, on se met tous les deux à rire aux éclats et nous nous sommes enfin dit bonjour.
Publication originale sur le site (fermé) : http://delicesdunesoumise.fr