
Je ne m’y attendais pas
Monsieur m’a envoyé un SMS me disant que le travail avait été éprouvant aujourd’hui et qu’il aurait bien besoin d’un remontant, il me demande de me vêtir de ma tenue la plus sexy pour l’accueillir dans une demie heure. Je me prépare donc, je décide de mettre un string et un soutien-gorge rouge en dentelle, de passer ma belle robe noire courte et mes escarpins rouges. Je me relève les cheveux en chignon et me maquille de façon prononcée comme quand je sors. J’étais prête avec cinq minutes d’avance. Je m’installe dans le canapé, mains sur les genoux, posture droite pour attendre mon Maître.
J’entends la poignée se baisser, j’eus un frisson qui me parcourut tout le corps. Il referme la porte violemment derrière lui, m’ordonne de me lever et de le rejoindre. Sa voix et son ton autoritaire me font instantanément mouiller mon string. Une vague de désir m’envahit. Je m’approche de lui gracieusement tête baissée, une fois que je n’étais plus qu’à quelques centimètres de lui, il me releva la tête et me dit « Ce soir ma jolie, tu vas être mon objet sexuel, j’ai besoin de me défouler donc tu vas devoir subir chacun de mes caprices. As-tu compris ? » Je répondis par l’affirmative. Mes joues étaient en feu ! J’aime qu’il me parle ainsi.
« À quatre pattes sur le canapé, genoux sur l’accoudoir, je compte bien te baiser sans ménagement là maintenant. » Je m’exécute le souffle court d’excitation. Il releva la robe jusque sur mes hanches, m’arracha le string d’un seul coup de main ce qui le mit en lambeaux. Il sortit sa queue raide et me l’enfonça jusqu’à la garde. Je laissais échapper un râle de surprise et de plaisir mélangés. Il me limait sans retenue, c’était sauvage et bestial mais j’aime ça et lui aussi. Je gémissais, je criais et je le suivais dans chacun de ses coups de butoirs violents qui m’emplissaient toute entière. Il détacha mes cheveux qui retombèrent en cascade sur mon dos cambré. Il attrapa l’intégralité de ma chevelure, entoura son poignet avec et s’y accrochait pour me faire cambrer d’avantage afin de me donner un angle qui ferait que j’aurais du mal à retenir mon orgasme. Il me connaît si bien. À peine quelques minutes dans cette position et je ne pus m’empêcher de jouir bruyamment et violemment. J’étais prise de spasmes des pieds jusqu’à la tête.
Il se retirait, me remettait debout pour me porter ensuite jusque dans la chambre telle une princesse. Il m’allongea sur le lit, attrapa le masque et me le passa sur les yeux. Son ordre fut simple « Interdiction de bouger, de crier et pour votre jouissance ma belle vous allez devoir attendre mon signal. » Je sentais un sourire satisfait presque moqueur quand il me dit cela. Il me fit asseoir sur le bord du lit, passa sa main dans mes cheveux et me fit embrasser sa bite, je savais ce qu’il voulait mais je n’en ferais rien tant qu’il ne me l’aurait pas instamment demandé. « Suce-moi ma belle. » À croire qu’il avait lu mes pensées. J’ouvrais la bouche pour laisser entrer son engin. Je l’aspirais, le suçais et me délectais de le goûter ainsi. Je sentais son emprise sur ma tête, je le laissais me guider à son bon vouloir et à son plaisir. Il accélérait le rythme de temps en temps et ralentissait. Sa main libre jouait avec mes seins, mes tétons les pinçant et tirant dessus pour les faire durcir. Je continuais de le sucer ardemment, il aimait ça et j’aime qu’il aime. Les allées et venues de ma bouche sur sa queue ne lui suffisait plus puisqu’il me dit « Ce soir je me finirais en te sodomisant » J’eus faillit m’étouffer à cette annonce.

« Aller hop ! Allonge-toi à plat ventre sur le lit. » Je lui obéis en bonne soumise que je suis. Il m’écarta les jambes pour lui laisser pleine vue sur mon petit trou. Il humecta d’abord son doigt pour que je me détende avant de recevoir sa bite. Puis il lubrifiait un petit jouet, légèrement plus gros que son doigt et continua d’enchaîner avec des plugs de plus en plus gros. C’est là qu’il me dit « Mmmmmh je pense que tu es prête ». Il alla doucement pour ne pas que je me crispe. Il commença avec juste le bout de son gland, il faisait entrer son sexe impressionnant et dur vraiment tout doucement, presque millimètre par millimètre. Quand il fut enfin au bout et qu’il me remplissait toute entière, il s’approcha de mon oreille et me demandait en chuchotant « Tout va bien ma belle ? » Je répondis que oui, le souffle court, impatiente de passer à la suite.
Il entreprenait de légers va et vient au début pour que je m’habitue. Il accélérait le rythme de temps en temps pour jauger mes réactions mais je n’en pouvais plus d’attendre. Je n’avais pas mal et je voulais qu’il accélère. C’est alors que je décidai d’utiliser mon code : « Vert ! Monsieur vert s’il vous plaît… » . Il fut étonné et me dit « Ah oui vert ? T’es bien sûre de toi ? » Et je répondis essoufflée que oui. C’est alors qu’au moment où je m’y attendais le moins, il me donna un coup de reins tellement fort que je crus qu’une bombe m’était tombée dessus. Et il recommença de plus belle voyant que je relevais mon cul pour le sentir mieux et que je prenne mon pied autant que lui. Je ne criais pas, je suivais les consignes. J’en avais terriblement envie mais je me retenais. Il m’affublait de ses coups de bite toujours plus sauvages, tel un animal en rut insatiable. Pourtant lorsqu’il me dit « Tu vas pouvoir jouir ma belle » et que je sentis sa main passer entre mes cuisses pour jouer avec mon clitoris, je compris que lui aussi n’allait pas tarder à venir.
Il faisait des cercles réguliers autour de mon bourgeon, tout en continuant à me sodomiser avec frénésie, il savait que je ne pouvais résister à cela. C’est pourquoi dans les minutes qui suivirent, je basculais dans un tourbillon de plaisir et d’émotions. Je le sentis se contracter, empoigner mes cheveux plus fermement et son corps se raidir. Je sentis sa bite évacuer le liquide de sa jouissance en moi. Je laissais échapper un petit gémissement et je l’entendis grogner, car nous avions jouis de concert, nos corps ne formaient plus qu’un paquet de spasmes, en sueur et essoufflés par cet effort plus que fantastique. Il posa sa tête sur mon dos et me remercia pour cet orgasme mémorable.
Mes muscles étaient endoloris, je m’allongeais à plat ventre la tête dans l’oreiller quand je sentis un liquide frais se poser au creux de mes reins, puis ses mains fermes et délicates à la fois commençaient à frictionner l’huile de massage chauffante partout sur mon corps. Passant de mes bras à mes épaules, puis le dos ainsi que les cuisses et les mollets. Je laissais échapper un râle de plaisir lorsqu’il arriva au niveau de mes reins et descendis sur mes cuisses. Je l’entendis me dire de sa voix douce et grave « Détends-toi ma belle, je prendrais toujours soin de toi. »
Publication originale sur le site (fermé) : http://delicesdunesoumise.fr